Pour rester en forme au quotidien, la pratique d’un sport ou une activité sport et bien-être est primordiale. A mi-chemin entre l’aquagym et le cyclisme, l’aquabiking consiste à pédaler sur un vélo immergé dans un bassin ! Cela agit sur le cœur et la capacité pulmonaire. Accessible et efficace, voici quelques bonnes raisons pour vous motiver !

Sport et détente

Pédaler en étant immergé jusqu’à la taille dans une eau à 25 degrés présente de multiples avantages. Outre l’agrément, cela muscle les jambes, les fessiers, la ceinture abdominale et le dos, ce qui permet d’améliorer la stature, de se tenir plus droit. Dans l’eau, les mouvements sont plus doux pour les articulations, notamment les genoux et la colonne vertébrale, que sur un vélo d’extérieur ou d’appartement. Enfin, le pédalage allié au frottement de l’eau relance la circulation veineuse, soulage les jambes lourdes et fatiguées et diminue même la rétention d’eau.

Santé et bien-être

D’un point de vue médical, pédaler stimule le système cardio-vasculaire, stabilise la glycémie (diabète…), améliore le métabolisme (digestion, hypertension…) et augmente la capacité pulmonaire. Cela entretient la formation osseuse, contre l’ostéoporose, et soulage les lombalgies. La pression statique de l’eau agit aussi sur le système veineux et lymphatique. Grâce à l’effet massant de l’eau sur la peau, l’aquabiking favorise la micro-stimulation cutanée et permet non seulement un renforcement musculaire sur le bas du corps mais également de lutter contre la cellulite et de gommer ainsi peu à peu l’effet « peau d’orange ». Dans l’eau, comme votre corps est plus léger, l’effort est facilité. Le cœur bat moins vite, les graisses sont brûlées en priorité et les muscles se renforcent.

En pratique

L’aquabiking est proposé dans les piscines municipales et privées, en cours collectifs ou en accès libre. Certains cabinets de kinésithérapie disposent également de vélos aquatiques. On peut aussi pédaler en solo dans les cabines de certains centres d’esthétique ou de remise en forme.

 

Source : magazine communiqué "présence" proposé par la Croix-Rouge