Le football est un sport qui demande une alimentation saine pour l’amélioration et l’entretien des capacités physiques et mentales du joueur. Un footballeur s’il veut devenir professionnel doit respecter une certaine hygiène de vie pour satisfaire ses besoins. Le besoins en énergie nécessaires pour l’entraînement, les matchs et pour prévenir la fatigue sont à respecter rigoureusement.

Comment manger avant l’effort ?

footballers ballon

Les apports alimentaires d’un footballeur doivent être adaptés à ses dépenses énergétiques en eau. Ainsi, un programme nutrition footballeur doit être équilibré, varié, diversifié adapté à son âge et à l’intensité de la pratique du football. En général, il est recommandé de manger 3 heures avant un entraînement ou un match.
L’apport en féculent (pâtes, riz, pomme de terre, polenta…) doit être privilégié plusieurs jours avant de disputer un match. L’Univers football nécessite beaucoup de rigueur, et ça même si on est (au départ) joueur amateur (à l’E.S Manival).
La veille de la rencontre, il faut éviter de manger des graisses et trop des végétaux cuits qui pourrait avoir un effet dévastateur sur votre transit.

Le repas d’avant match doit être suffisamment digeste pour vous assurer une certaine « sécurité » et suffisamment énergétique pour couvrir les besoins du footballeur. Les aliments à privilégier sont les légumes CRUS, les protéines (viande, poisson, œuf), des féculents (pâtes, riz, pomme de terre, polenta..), le tout peu salé et des fruits frais. Pour le petit-déjeuner optez pour du pain grillé, un peu de beurre, du miel, de la confiture. Cependant, les graisses cuites doivent être évitées à tout prix pour ne pas engendrer de désordre intestinal.

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Univers football : l’alimentation pendant la rencontre sportive

La mi-temps d’un match est un moment cruciale pour recharger les batteries. Le joueur doit absolument reprendre des forces pour compenser ses dépenses énergétiques. Le footballeur doit privilégier l’hydratation pour compenser les pertes d’eau et pour éviter des accidents comme  les claquages, les élongations pou encore les contractures. Les boissons dites « isotoniques » sont un bon compromis. Mais l’eau reste l’élément à privilégier.
Pendant la mi-temps, il faut tenter de réparer les dégâts causés par l’effort musculaire du match en ingérant des aliments riche en sucre. L’idéal c’est d’opter pour des barres de céréales riche en fruits secs (abricots, dattes, figues…) et quelques fruits oléagineux (amandes, noisettes, noix, pistaches…). Attention tout de même à ces fruits-là qui sont une forte source de graisse végétale et qui pourrait avoir un fort impact sur le transit du joueur.

Quoi consommer après l’effort ?

A la fin du match, une bonne hydratation est toujours de rigueur. Durant le second temps du match, le joueur transpire encore beaucoup et doit impérativement compenser ces pertes pour ne pas avoir de violente crampe par la suite.
Un petit « shot de sucre » est également la bienvenue pour éviter les faiblesses dû aux fortes dépenses énergétiques dû à la course et l’adrénaline. Il lui est recommandé de boire régulièrement une eau minéralisée riche en bicarbonates et d’éviter les boissons gazeuses trop riche en sel et susceptibles de provoquer des troubles digestifs.
En moyenne, il doit boire 100 à 200 ml d’eau toutes les 20 minutes. Les boissons sucrées sont aussi conseillées, car elles ont l’avantage d’hydrater et de ménager les réserves. De plus, la nutrition du footballeur doit être équilibrée et comprendre non seulement des glucides, des protéines, un apport en fer, en vitamine C et en calcium important. Le calcium étant un élément fondamental dans le mécanisme de contraction musculaire.