L’implantologie une branche dans le secteur de la dentisterie qui consiste à apposer un ou multiples implants dentaires dans l’os de la mâchoire pour maintenir la santé bucco-dentaire, aussi bien au niveau de la mastication des aliments qu’éviter les pertes des autres dents, mais également de garder un sourire des plus craquants. Cette pratique se fait uniquement par chirurgie dentaire, sous anesthésie locale, et nécessite les expertises et compétences de professionnels dans le domaine.
Ses origines
Selon l’histoire, la découverte de cette pratique aurait commencé avec les études du chercheur dénommé Per-Ingvar Branemark sur les effets parfaitement compatibles du titane avec l’ossature des êtres vivants, durant les années 50.
Après multiples expériences menées par le scientifique suédois sur les capacités de ce matériel résistant qui semble être parfaitement toléré par le métabolisme vivant, au bout d’une trentaine d’années, il finit ainsi par découvrir l’ostéointégration, c’est-à-dire la faculté de l’os à s’ajuster à la présence du titane sans aucun risque de rejet ni d’effets indésirables pour la constitution.
C’est de ces recherches qu’a, par conséquent, vu le jour durant les années 1980 la pratique de l’implantologie dentaire.
La nécessité de l’implantologie
L’implantologie est nécessaire dans différents cas, mais notamment lorsqu’une personne se retrouve édentée d’une ou de plusieurs dents, de quelques manières que ce soient, extraction dentaire ou une dent cassée par exemple :
- Si une dent manque, un implant peut-être capital pour garder la position stable des dents, donc empêcher leur déplacement
- Plusieurs qui manquent pourraient nuire à la santé des gencives, leur inflammation pourrait alors infecter les os de la dentition. Au final, les risques de pertes des dents restantes pourraient s’accroître
- La perte complète au niveau d’une ou des deux arcades des dents est un risque pour la santé du corps et des organes responsables de la digestion. Ces derniers travaillent davantage pour broyer les aliments ingérés qui n’ont subi aucune mastication propre. Dans ce cas-ci, pour éviter d’installer plusieurs racines artificielles dans l’os, quelques vis suffisent pour accueillir toute une prothèse dentaire fixe, garantissant aussi bien le confort que l’efficience des véritables dents.
Poser des implants dentaires est possible dans le cas où l’os résiduel après l’extraction d’une dent permet l’intervention, mais sinon, il est préférable d’attendre la totale cicatrisation de la gencive et de l’os avant d’apposer le pellet.